Les premiers clichés envoyés par la sonde Juno orbitant autour de Jupiter font état d’innombrables traces de chemtrails relevées dans l’atmosphère de la planète géante.
C’est début Juillet 2016, presque cinq ans après avoir quitté la Terre, que la sonde de la NASA chargée d’explorer Jupiter est arrivée à destination. Après s’être satellisé autour de la planète géante, l’engin spatial a commencé ses observations qui ont pour but de préciser l’origine de l’astre ainsi que les caractéristiques de son atmosphère et de sa magnétosphère.
La sonde est dotée d’une multitude d’instruments scientifiques perfectionnés dont une caméra à très haute résolution 4K permettant d’obtenir des clichés d’une précision jamais égalée par les télescopes terrestres, spatiaux ou même par les précédentes sondes pourtant passées au plus près de Jupiter.
Aussitôt satellisée, et conformément à sa mission, la sonde a tout naturellement commencé à transmettre des clichés de Jupiter et de son atmosphère.
Étonnamment, à la réception des premières photos, la NASA – qui d’ordinaire est plutôt prompte à communiquer en temps réel toutes les informations reçues par les engins spatiaux – s’est alors mystérieusement enfermée dans un mutisme associé à une totale rétention d’informations. Ce qui, il faut l’avouer, ne lui ressemble guère.
Il n’en fallait pas plus pour susciter le questionnement et surtout exacerber la curiosité des scientifiques qui ont décidé d’en savoir plus en « court-circuitant » le service officiel de communication de la NASA grâce aux antennes des télescopes ondes courtes des centres spatiaux pointées directement sur le canal d’émission de la sonde Juno.
On devine leur stupéfaction en découvrant, sur les clichés très haute résolution, ce que la NASA a voulu cacher aux humains : la haute atmosphère de Jupiter est quadrillée d’innombrables traces de chemtrails identiques à celles observées dans le ciel de notre Terre.
Après une étude approfondie des photographies, il s’avère que ces traces correspondent en tout point à celles laissées par les sondes Pioneer, Voyager, Cassini et Galiléo lors de leurs passages dans l’atmosphère de Jupiter.
« Contrairement à l’atmosphère terrestre, l’atmosphère jovienne possède un pouvoir de rémanence exceptionnel. Ce qui explique notamment la présence permanente de la tache rouge géante dont l’origine remonte à plusieurs millénaires », précise Paul Legla, astrophysicien à l’Observatoire de Nice.
Et de rajouter : « Alors que les traînées blanches laissés par nos avions disparaissent en quelques minutes en laissant s’épancher au sol les produits répandus, les chemtrails laissés par la multitude de sondes de la NASA dans l’atmosphère jovienne sont toujours intacts et peuvent encore perdurer pendant des millions d’années »
Dès lors, on comprend mieux la gêne et le silence de la NASA qui va devoir maintenant s’expliquer sur la présence et surtout sur le but avoué de ces chemtrails d’origine humaine laissés dans l’atmosphère de Jupiter.
Génocide programmé des Jupitériens ou tentative de contrôle du climat et de la géante tâche rouge en particulier ? La NASA se doit maintenant de répondre à nos interrogations.
Crédit photo : Nasa