Le Bureau international des poids et mesures (BIPM) de Sèvres vient de déclarer le milliBlakany comme l’unité de mesure officielle du Corruptiomètre : l’appareil qui permet de mesurer le taux de corruption des hommes politiques.
Cet appareil analogique possède une échelle graduée linéairement de 0 à 100 milliBalkany, il permet de mesurer très précisément le taux de corruption des hommes politiques. On rappelle que dans le système des unités internationales, 1 milliBalkany est sensiblement égal à 270 microCahuzac.
L’appareil possède plusieurs calibres permettant de réaliser des mesures instantanées du taux de corruption des politiques dans une plage évoluant entre 0 et 10 kiloBalkany. A la demande des juges de la brigade financière, les scientifiques ont expérimenté aujourd’hui l’appareil au sein de l’Assemblée nationale. L’expérimentation a été de courte durée, le fusible de l’appareil n’a en effet pas supporté les dépassements de mesures réalisées dans l’hémicycle. Par précaution, les chercheurs proposent à l’avenir d’utiliser un fusible d’une valeur minimale de 500 MégaFillon, voire 900 MégaFillon.
À la lecture du rapport d’expérimentation, il est évident que cet appareil de mesure n’a pas été fabriqué par #prumpleffer !
Il me faut absolument un de ces merveilleux appareils – avec certificat d’étalonnage ? Seul soucis : je ne sais pas encore qui corrompre pour être servi en premier 🙁
Ah, je vois que votre logiciel a repris ses commentaires, j’espère qu’il va mieux, des problèmes de santé ?
Et j’en profite pour rendre à César ce qui ait à César. Le premier corruptiometre industriel a été inventé par le beau-frère de Bokassa, mais évidemment comme c’est africain on n’en parle pas.