Ecologiques, renouvelables et économiques, les crottes de nez sont devenues une alternative aux pellets devenus trop chers
Encouragé par les aides de l’État, Michel avait installé une chaudière à pellets en 2020. À l’époque, ce modeste propriétaire payait 250 € par tonne de pellets mais cet été, les prix se sont envolés. Le bon plan s’est transformé en gouffre financier.
Le nez sur sa facture, Michel voit rouge « C’est une augmentation colossale », soupire-t-il.
« Jusqu’à présent, les prix étaient stables, mais aujourd’hui les tarifs s’envolent et ça n’arrête pas ! »
Fouillant dans son nez et dans ses anciennes factures, Michel a eu une révélation !
« J’ai réalisé que j’explorais frénétiquement mon nez avec mon index droit et j’en retirais de grosses quantité de crotte de nez que j’étalais machinalement sous ma chaise. Un jour celle-ci s’est cassée sous le poids de mes crottes. Ne savant que faire de tout ça, j’ai tout mis dans la chaudière à pellets … »
Et c’est la que la vie de Michel a changé : qui aurait pu soupçonner que les crottes de nez avait un pouvoir calorifique douze fois plus important que les pellets ?
Avec quelques pelletées de crottes de nez et quelques modifications sur la chaudière existante, il est possible de chauffer pendant plusieurs heures sa maison.
Une astuce qui n’a pas échappé à Michel qui, tout heureux, peut continuer de conserver un habitat douillet tout en s’adonnant à sa passion préférée.