L’astronaute Thomas Pesquet a reçu une facture téléphonique astronomique de 236 500 euros après avoir oublié d’éteindre son téléphone portable lors de son transfert entre la Terre et la Station Spatiale Internationale (ISS).
Après deux longues journées passées dans le volume étriqué de la capsule Soyouz, l’astronaute Thomas Pesquet est enfin entré dans la Station Spatiale Internationale (ISS), sa nouvelle résidence pour les 6 prochains mois. C’est au moment de contacter son épouse pour lui donner de ses nouvelles que celle-ci, affolée, lui a demandé de redescendre au plus vite sur terre afin de régler un problème de facturation avec son opérateur téléphonique.
En effet, quelques heures avant l’amarrage de la capsule à la station, Madame Pesquet était contactée par le service client SFR qui lui annonçait un sérieux dépassement de facturation de son astronaute de mari.
«J’ai appris que ses consommations téléphoniques s’élevaient à… 236 500 euros pour seulement deux jours passés dans l’espace ».
L’opérateur téléphonique rappelle que les communications passées hors du territoire national obéissent aux règles du roaming (ou « itinérance ») qui désigne la faculté des abonnés d’un opérateur de réseau mobile à utiliser les services de téléphonie mobile (voix ou données) de différents réseaux au fur et à mesure de leurs déplacements. La capsule Soyouz se déplaçant autour de la Terre, une communication mobile passée à bord est ainsi susceptible de déclencher successivement les réseaux GSM de plus d’un millier d’opérateurs à travers la quasi totalité des pays de la planète. Ce qui explique le coût exorbitant des frais de communications facturées à l’astronaute.
Contacté, Thomas Pesquet avoue du bout des lèvres avoir effectivement regardé quelques films en streaming afin de tuer l’ennui pendant les deux longues journées passées dans la capsule Soyouz.
L’astronaute est aussitôt entré en contact avec l’opérateur SFR depuis la station spatiale. «En 45 minutes de conversation, ils m’ont déjà proposé de me faire cadeau du montant de mon appel avec le service commercial (d’un montant de 4 676 euros) et réduire le montant de ma facture de 236 500 à seulement 250 euros si j’acceptais d’apposer sur un module de la station une pancarte publicitaire à l’effigie de l’opérateur SFR », raconte Thomas Pesquet
Consulté, le centre national d’études spatiales (CNES) avoue ne pas s’opposer à cette transaction à l’amiable. De plus, confronté à des difficultés passagères pour boucler son budget suite aux mesures de restrictions financières imposées par le gouvernement, l’organisme étudie avec la plus grande attention ce partenariat commercial prometteur et pense l’élargir à d’autres acteurs économiques.
C koi ce site en bois
J’y crois pas une seconde. Déjà que chez mes parents à la campagne on capte aucun signal, alors là haut…
Faut pas prendre les gens pour des C**S !
Déja que les médias tournent tous a leur sauce, mettre des fausse info comme ça c’est pas malin ya beaucoup de con qui y croirons et deviendront encore plus con…
vous avez vraiment rien d’autre a branler !!!
Voilà, il suffit juste d’être un peu curieux et de cliquer sur ce lien pour découvrir que ce site d’information scientifique publie des informations totalement fausses, voire archifausses et en plus, même pas vraies.
Qu’on se le dise une fois pour toutes : le site ScienceInfo.fr est un site parodique, satirique, anxiogène et sans gêne.
Toutes les informations exposées sont, malheureusement pour certaines et heureusement pour d’autres, inventées de toutes pièces.
Bref, tout est faux. Cela va des noms et citations attribués à des personnes imaginaires ou sociétés imaginées.
Quand aux actions et citations attribuées à des personnes existantes – ainsi que les faits les concernant – elles sont évidemment fausses et imaginées pour renforcer le caractère ubuesque des articles.
Bref, ne croyez pas tout ce que l’on vous raconte et à plus forte raison tout ce que vous lisez sur internet. Soyez vigilants … et pensez à sourire
c fau
nom mais c’est n’importe quoui !!!