Une étude scientifique confirme que la taille du sexe des automobilistes est bien inversement proportionnelle à la puissance de leurs voitures

C’est en croisant les dossiers médicaux d’un célèbre service d’urologie parisien avec le fichier national des cartes grises que des scientifiques ont pu confirmer avec certitude que les propriétaires des voitures de grosses cylindrées posséderaient un sexe de dimension inférieure à la moyenne.

Des chercheurs de l’université de sociologie appliquée de Paris IV viennent de publier les résultats d’une étude réalisée en partenariat avec le service d’urologie d’une célèbre clinique parisienne.

Ayant accès aux fichiers médicaux des patients présents dans la base de données de la clinique, les scientifiques ont cherché à établir le lien entre les dimensions de leur sexe et la cylindrée de leur voiture.

Des données confidentielles ?

Il faut savoir que les services d’urologie des nombreux hôpitaux et cliniques privées réparties sur notre territoire collectent – à des fins purement statistiques – divers renseignements morphologiques sur les patients. Parmi ceux-ci figurent notamment la couleur de la pilosité, la forme et surtout la taille … de leur sexe.

Il a été alors extrêmement facile, en croisant les dossiers médicaux et le fichier national des cartes grises, d’établir avec une fiabilité remarquable le lien entre la puissance des voitures et la taille du sexe de leurs conducteurs.

Et les résultats n’étonneront qu’à moitié les Français : sans surprise, le résultat de l’étude réalisée sur un échantillon de 43 255 automobilistes confirme que 97,6 % des propriétaires d’une voiture de grosse cylindrée posséderaient un sexe de dimension inférieure à la moyenne.

Une étude qui ravira tous les conducteurs de Kangoo jaune qui y verront là une occasion inespérée de révéler au grand public leur potentiel insoupçonné de séduction.

Crédit photo : Capture écran publicité